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Top articles
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Bernard Lorraine, Patins à roulettes.
Patins à roulettes Conquérants de l'asphalte Que la vitesse exalte, Nos clefs en bandoulière, Bardés de genouillères, De pin's et d'amulettes, Sur patins à roulettes, Bruyants météorites Dont les passants s'irritent, Espiègles funambules Des trottoirs...
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Louis Aragon, Les yeux d'Elsa.
Qui mieux que Louis Aragon pour chanter la femme aimée. Pétrarque, Ronsard, Lamartine, Eluard ont célébré Laure, Hélène, Elvire, Gala. Et tous ceux que j’oublie, bien entendu. Voici donc pour vous, aujourd’hui : Les Yeux d'Elsa Tes yeux sont si profonds...
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René Char, Feuillets d'Hypnos.
Je veux partager avec Vous, en ce Samedi, ces deux feuillets. @ Artine 2 1 2 "Enfonce-toi dans l'inconnu qui creuse. Oblige-toi à tournoyer ." 2 3 6 " Mon corps était plus plus immense que la terre et je n'en connaissais qu'une toute petite parcelle....
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Louis Aragon, Le rêve bleu.
Entre rêve et réalité, aujourd'hui. @Artine. Le rêve bleu A Man Ray Les rayons de mes yeux se brisent La sueur de mon front s'élève dans le ciel Je tourne les mains vers les petits oiseaux Ils sont juste en train de voler des cerises Je prends des épingles...
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Congé au vent vu par Georges Mounin.
On vient de lire un des poèmes les plus qui puissent être. Je veux dire un de ces textes dans lesquels la beauté paraît, presque sans rapports visibles avec les moyens de l’obtenir. Tous ceux pour qui le secret d’une esthétique est dans la stricte application...
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Henry Bauchau, L'écriture à l'écoute, Actes Sud, 2000.
" En réunissant et retravaillant quelques essais ou articles parus une première fois en revues, Henry Bauchau apporte une contribution passionnante à l'élucidation de son propre processus créateur, et plus généralement aux relations qu'entretiennent l'art...
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Frisson de soie
Un haïku par jour, saisir les instants du temps, en micro moments? Cela paraît tellement simple. Mais tel n'est pas le cas. Aujourd'hui, cependant, dans l'air flotte un rayon de printemps. Célébrons ces frémissements en haïkus. Artine D'une pivoine Deux...
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Apollinaire, Automne.
Un petit ajout pour ce soir. Une dernière feuille avant de Vous souhaiter bonne nuit. Artine. Au t omn e Dans le brouillard s'en vont un paysan cagneux Et son bœuf lentement dans le brouillard d'automne Qui cache les hameaux pauvres et vergogneux Et s'en...
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René Char, Seuls demeurent, Le visage nuptial, Evadné ...
Le visage nuptial m’a un peu manqué alors je dépose quelques réflexions à propos d’Evadné. La communion entre l’été et les amants est totale. En effet, l’été annonce le couple dans sa plénitude « L’été /et notre vie/ étions d’un seul tenant » remarquons...
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Albert Camus, Carnets II, Janvier 1942- mars 1951.
Je devrais commencer les carnets par le premier tome, mais je n’ai que le tome 2 ! Y remédier. Dans ce tome II, « entre 1942 et 1951, Albert Camus rédige entre autres, La Peste, Les Justes et L’homme révolté. Si ce deuxième volume des Carnets témoigne...
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René Char, Dédicace, Lettera amorosa.
Je poursuis ma lecture de ce recueil, étonnant de pureté et de gravité. Je prends mon temps et vous livre les premières pages. J'espère que vous serez séduit à votre tour mais aussi intrigué. Artine. DÉDICACE NON E GIA PART’IN VOI CHE CON FORZ’ INVICIBLE...
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Afin que dans mon cœur au loin ...
Proche de Marceline, en ce dimanche, pluvieux. Plus proche de l'ombre que du soleil, je vacille en semi-équilibre entre lit et canapé en me délectant des mots, d'un grain de poussière en suspension, du temps qui tourbillonne et aspire mes soupirs vains....
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Comblée de couleurs Chaque grain devient sous ses mains hâle de bonheur Fusion entre peau et mot matière corps une Artine A Vous, au-dessus des lumières, au-dessus de l'absence. Immatériel dans votre éclat. Evanescent au point du jour et incandescent...
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René Char, Lettera amorosa, "Il faut que craque..."
II faut que craque ce qui enserre cette ville où tu te trouves retenue. Vent, vent, vent autour des troncs et sur les chaumes. J’ai levé les yeux sur la fenêtre de ta chambre. As -tu tout emporté? Ce n’est qu’un flocon qui fond sur ma paupière. Laide...
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Le mot puissance me surprend ...
"Le mot puissance me surprend, je préférerais force. Mais dans puissance il y a, c'est vrai, une majesté qui nous soulève et parfois nous transporte. Il y a aussi une force séminale qui l'apparente à l'action solaire et à l'amour en acte." Henry Bauchau,...
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Je ne connaissais pas le soleil...
Septembre, mois des derniers rayons de lumière, septembre et sa cohorte de frémissements doux et imperceptibles, chaleur de septembre comme une promesse d'éternité. Artine. Ode au soleil Je ne connaissais pas le soleil. J’ai vécu en hiver. C’était dans...
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Quand il pâlit un soir, et que sa voix tremblante...
D'humeur un peu chagrine et mélancolique, ce dimanche. C'est ainsi ! Et vous? Le soleil a déserté mon cœur un instant, il y reviendra, c'est certain! Belle journée. Artine Souvenir Quand il pâlit un soir, et que sa voix tremblante S’éteignit tout à coup...
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Il est difficile de définir l'amour...
J'apprécie de relire, avant de me coucher parfois, quelques Maximes de La Rochefoucauld. Cela dépend de mes envies, il faut croire que j'ai l'humeur réfléchie, ces derniers temps. © Artine. Maxime 68 Il est difficile de définir l’amour. Ce qu’on en peut...
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Si tu n'as pas perdu cette voix...
Je continue d'explorer le recueil de Marceline Desbordes-Valmore et m'imprègne de son univers poétique. Voici quelques vers qui ont retenu mon attention. Artine Si tu n'as pas perdu cette voix grave et tendre Qui promenait mon âme au chemin des éclairs...
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Le printemps des poètes Que ce nouveau printemps poétique Vous réserve de belles rencontres, de belles occasions de lectures et de partages! Accord du soir rose En harmonieux pétales Funambules dressés Artine Maintenant que tu as uni un printemps sans...
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Les défauts de l'âme sont comme...
Feuilleter et piocher dans La Rochefoucauld se révèle un plaisir continu et jubilatoire, les pages défilent. Se reposer devient nécessaire dans cette effervescence. Bon mercredi. Artine. Maxime 194 Les défauts de l'âme sont comme les blessures du corps;...
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Le pré est vénéneux mais joli en automne...
Hier, l'automne, déjà hâte de revoir le vert naissant des premières feuilles, de sentir le vent léger et frais... Artine Les colchiques Le pré est vénéneux mais joli en automne Les vaches y paissant Lentement s’empoisonnent Le colchique couleur de cerne...
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Le mot rayonnait à l’intérieur de son corps...
J’avais oublié combien l’écriture de Le Clézio enluminait les mots. Retrouver l’osmose entre la nature et les personnages, c’est un retour à l’enfance, le souffle suspendu,le cœur en équilibre, le corps en alerte... Artine Lullaby « « Karisma… » Le mot...
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Son image, comme un songe ...
Puisqu'il est parfois difficile d'être avec l'âme sœur, la seule ressource disponible, à la fois rassurante et déchirante, est le Souvenir, comme l'évoque Marceline et bien d'autres poètes! © Artine Souvenir Son image, comme un songe, Partout s'attache...
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Barbara Goalen ...
Barbara Goalen, en quelques clichés. Un cliché de John French, dans le métro. Un lien vers un site rafraîchissant.